
And I'll never forget you...
l'antre de la peluche ambulante, avec ce qu'elle aime, ses joies, ses tristesses, bref, un peu tout de sa vie...
Biographie
Né en 1931, David Eddings étudie au Everett Junior College de 1950 à 1952, puis au Reed College jusqu'en 1954 où il obtient une licence d'art. Il réussit à éviter de combattre durant la guerre de Corée pendant son service militaire qu'il effectue dans l'artillerie en Allemagne (1954-1956). Il obtient par la suite une maîtrise de littérature anglaise à l' University of Washington puis il soutient son doctorat en 1961University of Washington de Seattle en 1961. Il exerça plusieurs métiers. Commercial chez Boeing, professeur d'anglais dans un Lycée et même vendeur dans une petite épicerie. De 1985 à 2007, il habita à Carson City avec sa femme Leigh avec laquelle il s'est marié le 27 octobre 1962 Sa femme nous quitta en 2007. Il ne lui survécut que deux ans, avant de s'éteindre en Juin 2009, à l'age de 77 ans. à l'
Œuvres
Déçu par le manque de succès de ses premiers romans, David Eddings est fasciné par un exemplaire du Seigneur des anneaux découvert dans une librairie. Il décide de suivre les traces de Tolkien et de créer son propre univers de fantasy. Il dessine donc la carte du monde dans lequel devra se dérouler sa première saga, La Belgariade. Aidé par sa femme, il publie en 1982 le premier roman de ce qui ne devait être qu'une trilogie, Le Pion blanc des présages. Ce tome étant un succès, cette saga initiale sera composée de cinq romans.
En 1998, David Eddings publie Le Codex de Riva, un recueil où sont regroupées ses notes de travail et brouillons l'ayant aidé à la création de l'univers de la saga intitulée Les Grandes Guerres des dieux. À noter que depuis janvier 2009, ce livre n'est plus édité.
En 2003, il se lance dans un nouveau cycle de fantasy, Les Rêveurs.
Bibliographie
Voici les principales œuvres de David Eddings, écrites en collaboration avec son épouse Leigh.
La Grande Guerre des dieux
(Ordre chronologique de l'histoire)
- Les préquelles
- Belgarath le sorcier : Les Années noires (1998) - Belgarath the Sorcerer (1995)
- Belgarath le sorcier : Les Années d'espoir (1998) - Belgarath the Sorcerer (1995)
- Polgara la sorcière : Le Temps des souffrances (1999) - Polgara the Sorceress (1997)
- Polgara la sorcière : Les Années d'enfance (1999) - Polgara the Sorceress (1997)
- La Belgariade - The Belgariad
- Le Pion blanc des présages (1990) - Pawn of Prophecy (1982)
- La Reine des sortilèges (1990) - Queen of Sorcery (1982)
- Le Gambit du magicien (1990) - Magician's Gambit (1983)
- La Tour des maléfices (1991) - Castle of Wizardry (1984)
- La Fin de partie de l'enchanteur (1992) - Enchanters' end Game (1984)
- La Mallorée - The Malloreon
- Les Gardiens du ponant (1992) - Guardians of the West (1987)
- Le Roi des Murgos (1993) - King of the Murgos (1988)
- Le Démon majeur de Karanda (1993) - Demon Lord of Karanda (1988)
- La Sorcière de Darshiva (1994) - Sorceress of Darshiva (1989)
- La Sybille de Kell (1994) - The Seeress of Kell (1991)
- Le Codex de Riva - The Rivan Codex (1998)
Attention, la teneur de l'histoire fait qu'il est fortement déconseillé de lire les préquelles en premier. Les prologues et épilogues des préquelles reprennent en effet l'histoire là où elle s'est terminée à la fin de la Mallorée. L'ordre de lecture recommandé est :
- La Belgariade (les cinq tomes dans l'ordre indiqué ci-dessus)
- La Mallorée (les cinq tomes dans l'ordre indiqué ci-dessus)
- Belgarath le sorcier (les deux tomes dans l'ordre indiqué ci-dessus)
- Polgara la sorcière (les deux tomes dans l'ordre indiqué ci-dessus)
- Le Codex de Riva
La pierre sacrée perdue - Elemnium/Tamuli
- La trilogie des joyaux - Elemnium
- Le trône de diamant - The Diamond Throne (1989)
- Le chevalier de rubis - The Ruby Knight (1990)
- La rose de saphir - The Sapphire Rose (1991)
- La trilogie des périls - Tamuli
- Les dômes de feu - Domes of Fire (1992)
- Ceux-qui-brillent - The Shining Ones (1993)
- La cité occulte - Hidden City (1994)
La tétralogie des Rêveurs - The Dreamers
- Le réveil des anciens dieux - The Elder Gods (2003)
- La dame d'atout - The Treasured One (2004)
- Les gorges de Crystal - Crystal Gorge (2005)
- La folie des dieux - The Younger Gods (2006)
Hors cycles
Ceci est une liste des romans réalistes (excepté La rédemption d'Althalus qui est bien un roman High Fantasy).
- High Hunt (1973)
- Les laissés pour compte - The Loosers (1992)
- La Rédemption d'Althalus (deux volumes) - The Redemption of Althalus (2000)
- Les yeux d'émeraude
- Les trois grimoires
- La chanson de Regina - Regina's Song (2002)
En cela, le cerveau humain est bien fait, on oublie tout ce qui est mauvais, nocif, regrettable, la plupart du temps. Nous gardons les bons souvenirs, et parfois même, nous les embellissons pour ne garder que les bons cotés. Mais le passé reste le passé, il faut regarder devant soi si on veut avancer. Mais parfois, nous n’avons pas le choix, nous partons en courant vers notre avenir et nous nous arrêtons, pour regarder le chemin que l’on a parcouru, et on regrette certains moments…
…
La malédiction de la nostalgie…
Regretter ces bons moments, ne plus se suffire de nos souvenirs, vouloir plus, vouloir revivre ces moments, ne jamais partir, arrêter le temps pour ne rien faire d’autres. Ce sont ces petits bruits qui courent espagnols qui me font sentir nostalgique, on se replonge dans les photos et on se souvient, et alors, là commence la perte. On reveut tout, on veut écouter, revoir, rechanter, reparler, et être à nouveaux celles qui nous étions avant. Être juste là, juste des admiratrices, juste des filles, juste des lycéennes, juste nous. Et les larmes coulent alors toutes seules, sur une joue, puis sur la seconde, et nous gardons les yeux embués pendant une demi-heure sans s’en rendre compte. La nostalgie m’est tombé dessus en embuscade et je n’ai pas su me défendre, moi qui ne regarde quasiment pas mon passé. Et je les ai revus, je les ai réentendus, je les ai redécouverts. Et plus j’y pense plus je me noie dans mes bons souvenirs. Enfin, c’est ce que j’ai fait le temps d’une soirée, se remémorer leurs mimiques, leurs façons d’être. Et oui, je les adore, je les adorerais surement toute ma vie finalement.
L’histoire de l’Héritage : Eragon est un jeune adolescent abandonné à la naissance chez son oncle par sa mère, de père inconnu, bref, pour l’héritage, ben il ne sait pas trop de qui il tient. Un jour alors qu’il est parti à la chasse, un gros caillou bleu irisé se présente devant lui (caillou ovale qui doit bien faire 30cm de long, 20 de large et 20 de haut, un petit caillou tout bleu, ya pas anguille sous roche déjà) –désolé si je parait un peu acide mais bon, j’ai des idées assez arrêtés au sujet de ce cher Eragon- Et donc, comme il peut pas le vendre pour s’acheter de la viande il le garde avec lui. Au bout de quelques jours en sort un dragon tout bleu, c’était donc pas un caillou (d’un autre coté un caillou pareil, j’le veux bien pour le refourguer) mais un œuf de dragon. *musique de triomphe* Le cher petit dragon se frotte à la main de notre cher paysan innocent et lui offre une jolie marque argenté dans la paume de la main (tiens, c’est bizarre ça me rappelle quelque chose un paysan avec une marque argentée dans la paume de la main, mais j’me souviens pas d’où, voir la liste de mes livres préférés pour comprendre).
Eragon a un grand cœur, il décide de garder le petit dragon, qui se révèle être une femelle et qu’il baptise Saphira (elle est bleue, le saphir est bleu, c’est très recherché -_-) Saphira grandit bien et un jour des monstres attaquent la maison et il sont tout les deux obligé de fuir avec Brom, le conteur du village qui en sait un paquet sur les dragons, offre une épée à Eragon et lui raconte plein de trucs sur Galbatorix, l’empereur de ce « petit » empire.
Aparté : pour comprendre l’histoire. Il fut un temps où la terre d’Alagaesia était peuplé de Dragons et d’Elfes, et ces bêtes-là faisait pas bon ménage ensemble, donc il se tapait beaucoup dessus, certains en dévorant leurs adversaires, les autres, comme ils pouvaient. Pour faire cesser ce massacre, ils décidèrent de former une alliance, certains elfes seraient élus pour avoir un lien particulier avec les dragons, ils devinrent donc des Dragonniers (chevaliers à dos de dragons qui commence Level 10 en magie au moins avec un bonus énorme en mana XD, j’joue trop au jeu vidéo). Quand les humains arrivèrent sur Alagaesia, ils furent invités à rejoindre le clan des dragonniers, et c’est ainsi que les dragonniers se révélèrent être elfes ou humains. Les dragonniers partagent un lien particulier avec leur dragon. Ils peuvent entendre leur pensées respective et sont dépendants l’un de l’autre, en gros, ne plus pouvoir sentir la présence rassurante ( ?) dans son esprit de son dragon est un vrai calvaire. Ainsi, quand l’un du « couple » meurt, le deuxième meurt dans la foulée ou devient fou à cause « du vide » de son esprit. Un jour un dragonnier, Galbatorix, perdit son dragon et, devenu fou de chagrin, supplia le conseil des anciens de lui donner un autre dragon, mais ceux-là refusèrent, d’un autre côté, le gars était fou. Alors il vola un œuf de dragon et rallia 13 dragonniers à sa cause, il lui fallait régner sur le monde et défaire les dragonniers, ce qu’ils firent tous, et éradiquèrent les dragons, leurs œufs et leurs dragonniers. En fait, le fou garda 3 œufs de dragons, et Saphira est l’un d’eux.
On reprend : Eragon est donc le dernier Dragonnier, mis à part Galbatorix, mais lui, c’est un méchant. Brom persuade donc Eragon de se joindre aux Vardens, l’ARMEE de rebelle, et Eragon les rejoints, en chemins, il va sauver une super trop jolie elfe inaccessible pour un simple mortel (ça aurait pas été un vrai roman sans histoire à la Roméo et Juliette) et Murtagh, un humain qui se bats dans son coin contre Galbatorix qui ne veut pas rejoindre les rebelles. Après maintes péripéties, la mort de Brom et diverses choses sans importance, Eragon arrive chez les nains avec son dragon, font mumuse avec une armée ennemie dans les cavernes naines, Murtagh se révèle être le fils de l’un des Parjures (les 13 associés de Galbatorix), Morzan. Le chef des Vardens se fait tuer, Murtagh enlevé et Eragon qui trouve qu’il est trop faible pour être l’espoir de tous va suivre une formation chez les elfes (tient, ça, ça me fait penser à un jeune padawan, qui un maitre bizarre va voir).
On passe au deuxième volet : L’Ainé.
Leurs maitres se révèlent être un dragonnier et son dragon, qui se cachent depuis très longtemps de Galbatorix (Oromis, l’elfe et Glaedr, le dragon en or). Et puis à la fin de leur formation, ben les arbres les aiment tellement, qu’ils offrent à Eragon de se remettre d’une affreuse cicatrice qui lui faisait avoir des spasmes n’importe quand et lui offre les traits et les capacités physiques des elfes. (Trop bien, maintenant, il a les sourcils bizarres et les oreilles pointus) Mais le devoir le rappel à l’ordre, il doit retourner se battre.
Ils se retrouvent donc dans les plaines brulantes un super champ de batailles et là (Damned) un dragonnier masqué apparait, mais ce n’est pas Galbatorix. Après un duel acharné, le combattant mystère se dévoile et c’est Murtagh qui réclame son épée (parce que l’épée que Brom a donné à Eragon est l’épée de Morzan, parce qu’en fait, Brom, s’il en savait autant, c’est parce qu’il était dragonnier et il a tué Morzan pour se venger de ce dernier de la mort de sa dragonne Saphira, tiens, c’est le même nom pour deux dragons différents) et il dit à Eragon que l’épée du père doit revenir au fils ainé et non au fils cadet, et donc il lui reprend par droit d’ainesse. Donc Morzan c’est le pater inconitum d’Eragon, il arrête donc d’être Eragon, fils de personne. Murtagh est devenu méchant parce que Galbatorix a trouvé son vrai nom (parce qu’en gros, là-bas, le prénom que les parents nous donne n’est pas notre vrai nom, mais un surnom, pour que ce soit pratique, le vrai nom est un ensemble de mot ou autres qui définissent une personne, son caractère, tout ça quoi) et il lui a fait jurer fidélité en langage ancien (la langue des elfes en gros qui permet de faire de la magie, dire toujours la vérité et faire des choses irréversibles) Mais Murtagh laisse quand même la vie sauve à Eragon « par amitié » (désolée si j’y crois pas trop, mais bon, risquer de rompre un serment qui force la personne à obéir par diverses méthodes toutes plus machiavéliques, douloureuses et tutti quanti –le dauphin- et les représailles d’un fou empereur qui peut décider de vous tuer et de vous torturer, par amitié alors que ce sont des serments inviolables à moins de changer de caractère, ça me fait doucement rire) Donc Murtagh retourne auprès de son fou de maîtres subir la vengeance de l’autre parce qu’il a désobéis et parce que ça lui fait plaisir et Eragon se remets du choc émotionnels et de ses blessures. J’vous passerai outre l’histoire du cousin qui aime tellement une fille qu’il veut la sauver coute que coute et que Eragon l’aide et que ça fait une histoire So romantic à mettre dans son bouquin.
Et on commence Brisingr, j’vous passerai l’histoire parce que l’histoire m’a pas tellement marqué. Mais j’vais faire un peu de spoiler dans le tas.
Je vais commencer là ma critique. Même si on ne remarque pas trop comme ça en lisant mon résumé, j’ai bien aimé, pas adoré, loin de là, assez pour avoir envie de lire la suite, mais pas au point d’avoir le courage de la lire en anglais. C’est un livre qui se lit bien, et qui est divertissant, mais bon, les non geeks et ceux qui ne sont pas no-life, les gens normaux me souffle-t-on dans l’assistance, vont bien aimer. Le problème, c’est qu’on voit tout de suite qu’il (l’auteur) est très jeune et qu’il s’inspire des grands auteurs de SF et Heroic pour écrire sa propre histoire comme beaucoup, il voulait son propre monde, sa propre langue et sa propre religion, son histoire, son bébé, et je pense que si on fait son premier essai, on peut pas se permettre de faire un truc à nous, surtout pas à 14/15 ans, il faut plusieurs années pour y arriver. JRR Tolkien n’a pas fait la terre du milieu en une semaine, et Eddings, qui est mon auteur préféré, n’a pas inventé de langue. D’accord les détails font le réalisme d’un livre, mais bon, point trop n’en faut, parce qu’après, on se retrouve à cours d’idées et il faut en trouver ailleurs. De plus, certaines choses me paraissent abérentes. Par exemple, je suis désolée, mais pour moi le chef MILITAIRE d’une ARMEE rebelle n’a pas à se conduire comme un souverain, il n’a pas à donner d’ordre à un roi comme si c’était son vassal, alors que le roi est surement mieux placé pour faire de la politique, surtout dans une armée rassemblant plusieurs peuples différents.
Donc, oui il se lit bien, mais c’est pas de la grande littérature. Il écrit juste ses fan-fictions avec plus de talents que les autres, voilà tout.
Juste quelques spoilers pour faire bonne bouche et pour ceux qui seraient tenté de pas lire le bouquin mais qui voudrait connaître la suite.
Seul ombre au tableau, un défaut, le mien.
Il faut l’avouer, certains vont bien rire, mais tant pis. Mon meilleur ami me l’a dit, chouchou me l’a dit, Milie l’a dit, j’m’en suis rendue compte toute seule aussi : je réfléchis trop. Je me pose trop de question, parfois c’est bien, parfois non. Ça évite souvent de faire des conneries, certes, mais parfois, surtout pour un certain sujet, c’est handicapant. Hier soir je ne désirais qu’une seule chose, mais en même temps je ne voulais pas qu’elle arrive, elle est arrivée, mais les questions que ce geste, innocent, occasionne dans mon esprit sont légions. Et personne ne peut y répondre… je crois.
Et finalement, mon mimi avait raison, depuis le début, je me pose trop de questions et tout vient à point à qui sait attendre.
‘Cause you did the only thing I wanted you to do. And now, you’re haunting my mind and I don’t know if you wanted the same thing as me.
Amy McDonald sings « and I will kiss until my lips no longer feel no more, and I will love until my heart it aches, and I will love until my heart it breaks and I will love until there’s nothing more to live for… »
And you ?
Dors, imouto-chan,
Dors et ne vois pas le jour venir,
Dors et attends paisiblement
Arrête le temps qui vit en toi,
Arrête de souffrir
Arrête de pleurer,
Mais ne m'abandonne pas,
Ou si tu pars,
Emmène-moi avec toi,
Emmène-moi dans ton monde de rêves,
Emmène-moi dans ton paradis,
Laisse-moi te suivre,
Laisse-moi t'aider
Laisse-moi être avec toi
Ou bien alors, suis-moi,
Suis-moi dans un monde qui te fera sourire
Suis-moi dans cet endroit qui verra un dernier sourire
Suis-moi même si tu es à bout de force
Et regarde ces merveilles
Regarde à quel point le monde est beau
Regarde et dis-moi pourquoi tu hais ce monde
Ce monde, si beau, plein de merveilles
Ce monde où l’on voit le soleil, de toutes les couleurs
Ce monde où la lune nous protège et où les étoiles nous bercent
Alors, dis-moi imouto-chan, pourquoi pars-tu ?
Dis-moi pourquoi tu veux quitter ce monde ?
Dis-moi pourquoi aller dans un endroit inconnu avec un paradis à portée de main ?
Mais n’oublie pas, si tu pars, de m’emmener avec toi,
N’oublie pas que je suis toujours à pour toi, où que tu ailles
N’oublie pas que tu peux tout me dire
Tu sais que moi, je ne te ferais jamais pleurer,
Mais imouto-chan, reste avec moi
Reste-là, oublie-le, regarde-moi et reste-là
N’attends pas de le voir, n’attends pas de savoir
Si tu es décidé fais-le !
Et regarde-moi souffrir, autant que tu souffres
Regarde-moi pleurer tant de larmes qu’on remplirait l’océan
Regarde-moi oublier ce paradis pour te rejoindre dans ton enfer
Regarde-moi faire ce que tu fais et que tu ne voulais pas que je fasse
Et demandes-toi pourquoi tu m’as persuader de rester alors que toi tu pars.
Oui tu as raison, viens dormir avec moi et oublie
Dors imouto-chan, dors
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